Bon, je crois que je vais limiter un peu mon temps de PC !
Un petit poème pour le détendre :
Er stirbt langsam, die Reise nicht an, wer nicht liest, der nicht Musik machen, hören, wer in seinen Augen Gnade finden.Er stirbt langsam, der sein Selbstwertgefühl, die noch nie erlaubt sich zu helfen zerstört.Er stirbt langsam, der ein Sklave der Gewohnheit wird, wiederholen jeden Tag den gleichen Weg, eine, die sich nie ändert Wahrzeichen, nie ventures ändern die Farbe seiner Kleidung oder nie mit Fremden zu sprechen.Er stirbt langsam, die Leidenschaft und Wirbelwind von Emotionen, die das Licht in die Augen bringen und Reparatur von geschädigten Herzen vermeidet.Er stirbt langsam, die sich nicht ändert natürlich war er unglücklich, am Arbeitsplatz oder in der Liebe, die kein Risiko für die nicht ihren Träumen, die nicht einmal in seinem Leben die fundierte Beratung geflüchtet hat, zu erreichen .Live jetzt! Risk Sie sich noch heute! Agis sofort! Lassen Sie sich nicht langsam sterben! Haben Sie sich nicht nehmen, glücklich zu sein! "
Neruda
Neruda
Pour ceux qui, comme moi, ne pratiquent pas la très belle langue de Goethe, Bach, Kant, Nietzsche et Goebbels (Heu,non pas celui là) ; une traduction en Français s'impose,je suis sûr que sa lecture ne ferait pas de mal à certains (je ne donnerai pas de nom, on est plus sous Vichy !).
« Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement celui qui évite la passion et son tourbillon d’émotions, celles qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les cœurs blessés.
Il meurt lentement celui qui ne change pas de cap lorsqu’il est malheureux au travail ou en amour, celui qui ne prend pas de risque pour réaliser ses rêves, celui qui, pas une seule fois dans sa vie n’a fuit les conseils sensés.
Vis maintenant ! Risque-toi aujourd’hui ! Agis tout de suite ! Ne te laisse pas mourir lentement ! Ne te prive pas d’être heureux ! »
Pablo Neruda
Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement celui qui évite la passion et son tourbillon d’émotions, celles qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les cœurs blessés.
Il meurt lentement celui qui ne change pas de cap lorsqu’il est malheureux au travail ou en amour, celui qui ne prend pas de risque pour réaliser ses rêves, celui qui, pas une seule fois dans sa vie n’a fuit les conseils sensés.
Vis maintenant ! Risque-toi aujourd’hui ! Agis tout de suite ! Ne te laisse pas mourir lentement ! Ne te prive pas d’être heureux ! »
Pablo Neruda