dimanche 5 septembre 2010

Papi est parti

Naissance et mort, seules les larmes les rapprochent.
 Papi est parti, je ne peux m'y résoudre, n'y l'évoquer ; seul un poème peut lui rendre hommage.

Je ne l'oublierai jamais

Hier une lumière s'est éteinte
Laissant dans la peine toute celles qui l'entouraient
Les larmes alors lui témoignent qu'ils sont impuissants
Qu'une vie s'est envolée, qu'ils ne peuvent pas la rattraper.

Hier une étoile s'est arrêtée de briller
Ne laissant d'elle que quelques souvenirs, une femme qui l'a aimé
Elle s'est retournée de toutes ces douleurs qui l'ont consumée
Peut-être avait-elle deviné la tristesse qui nous habite
Peut-être avait-elle lu l'amour dans nos yeux

Hier une personne chère nous a quittés
Mais au delà de la douleur, je dois savoir qu'elle repose en paix
Que plus aucun maux ne l'abattra là où il est
Pourtant dans les larmes que je fais couler
Je sais que mon grand-père, jamais je ne l'oublierai

L'auteur est inconnu mais pas la peine qu'il a éprouvée et que nous partageons également.

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